Macchu Pichu, suite et fin

bonjour !!!!

donc...pour monter au macchu picchu a pied et eviter le bus a touriste il faut partir a pied... reveil a 4h on commence le trajet de nuit, une belle montee, de quoi se rechauffer... mais ca vaut le coup pour etre dans les 1ers a rentrer. Ca vaut quand meme drolement le coup pour voir le macchu picchu sans personne et surtout pour rentrer vers le Wayna Picchu ou le nombre de personnes par jour est limite, Christophe qui est deja venu s etait fait avoir et n avait pu rentrer...

pour escalader il y a un chemin minuscule, des marches en pierre et au final un pur moment de bonheur,ambiance tropicale et sensations garanties , le grand frisson...
heureusement pour moi je sors d un mois de montagne, du coup je tiens une forme d enfer et je galope dans les escaliers !!!! J adore l architecture inca, pas de blabla, des edifices qui defient constamment le vide, de nombreuses terrasses... quant la vue est particulierement belle ils ont construits des bancs en pierre, j adore leur style :-) une fois en haut la vue est extraordinaire, on peut redescendre par un chemin different qui mene a un temple de la lune plutot joli, mais pas autant que le chemin lui meme, 1 bonne heure de descente, 30 minutes de remontee pour rejoindre le chemin principal, tout ca sans croiser personne ou presque.

Au final une journee fabuleuse et un sentiment de "ca c est fait", pas temps de monde, Agua Calientes moins glauque que prevu, que demande le peuple ??

On reprend le train de retour le soir meme et on finit a Taray, en la casa de Gopal, avec le sentiment de revenir un peu a la maison, d ailleurs je resterai encore quelques jours le temps de decompresser,
avec une chilienne adorable et son gamin, un couple catalan, une colombienne...
L impression d avoir trouve une famille d adoption, des gens que je reverrai surement !!!

en attendant j avais rdv avec mon ami Laurent, rencontre debut aout a lima, j aurai du retard puisque je ne quitte la Casa que le 18 septembre !!!

7 semaines passees au Perou, quelques regrets comme de ne pas etre aller a Arequipa mais surtout enormement de bonheur, de rencontres...
Il m aura fallu attendre Gopal pour apprendre en espagnol un mot que j aime beaucoup: compartir, partager.