salut tout le monde et merci pour vos commentaires et encouragements
bon, ceux qui savent que j aime voyager sans appareil photo, juste avec un carnet de route, apprecierons sans doute plus l effort que je fais ;-)
donc Santiago c est grand, polluer (vous excuserez l ortographe mais pas d accents sur les claviers de ce coter la de l atlantique...) je n avais pas envie de rester. pourtant l accueil des colocs de camille a ete plus que royal, pas impossible du tout que je repasse leur dire bonjour avant de rentrer en France
certains me diront mais qui est camille? sans rentrer dans les details sachez que je l ai rencontrer l annee derniere entre Srinagar (Cachemire) et Leh (Laddakh). on a garder le contact depuis et comme elle partait plusieurs mois a Santiago j en ai honteusement profiter pour changer le sens de mon periple (au depart je voulai partir du Quebec...)
Pas de bol pour elle la dure realiter de la vie (et la fac) l ont rattraper, resultat elle doit decoller de Lima le 4 aout prochain. Donc quand elle m as proposer de partir vers l argentine en traversant les Andes j ai dit oui tout de suite¡¡¡
Ca paraissait assez simple, 6h de bus, rien d ingerable... sauf qu elle avait fait la route en ete
on quitte donc Santiago vers 10h30 (je vous fait grace de ma folle nuit a Santiago), et rejoignons vite la Cordillere; surprise il neige, c est beau, il neige... vraiment beaucoup. resultat il a fallu vers demi tour, les plus malins qui ont cru pouvoir passer n auront gagner que le droit de revenir a santiago a 2h du mat, contre 20h pour nous ce qui nous aura au moins le temps de boire quelques pisco sur et de papoter avec ses colocs.
on remet ca le lendemain et cette fois ci ca passe mais c est long, les douaniers debiles (pardon pour le pleonasme) nous font attendre des heures, il parait que de dangereux terroristes essaient parfois de rentrer clandestinement des pommes du Chili, les malfaisants... resultat on poiraute et on est meme pas fouiller, s en est presque vexant. Heureusement, malgre le froid le paysage, de toute beaute, compense largement les inconvenients, je suis comme un gamin devant une sucrerie...
de l autre cote de la frontiere qui est a 2800 metres, la neige s efface vite, les montagnes restent pourtant belles a couper le souffle d autant qu on entame la descente au soleil couchant.